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Documents Justice
10 février 2009

Banlieues

« Banlieues : le “plan Marshall” attendra…, par Dominique Vidal, 8 février 2008.
Le « plan banlieues » de Mme Fadela Amara, revu par le président de la République, a fait long feu. Les mesures annoncées par M. Sarkozy sont loin des réformes fondamentales qu’appelle la crise des quartiers et des moyens considérables nécessaires pour les mettre en œuvre

« L’invention des « quartiers sensibles » », par Sylvie Tissot, octobre 2007.
La dégradation du quotidien des « cités » suscite toutes sortes d’initiatives de « terrain » et de discours politiques. Mais la réalité des faits en masque une autre, celle des mots par lesquels on la désigne. Et ceux-ci sont loin d’être neutres.

« La révolte des banlieues à travers les livres », par Alec. G Hargreaves, novembre 2006.
On a souvent affirmé que, contrairement aux manifestants de mai-juin 1968, les émeutiers de novembre 2005 ont été muets. Pas de discours, ni de slogan, ni de porte-parole. Mais cela ne signifie pas forcément absence de message. Et, en tout cas, ce prétendu mutisme des émeutiers est moins réel que la cécité d’une large part de la classe politique.

« Retour sur la grande révolte des banlieues françaises », par Denis Duclos, août 2006.
La révolte des banlieues françaises de l’automne 2005 peut, par certains aspects, porter à l’optimisme. D’ailleurs, que se passerait-il si tous les immigrés partaient ?

« Banlieues : le “plan Marshall” attendra…, par Dominique Vidal, 8 février 2008.
Le « plan banlieues » de Mme Fadela Amara, revu par le président de la République, a fait long feu. Les mesures annoncées par M. Sarkozy sont loin des réformes fondamentales qu’appelle la crise des quartiers et des moyens considérables nécessaires pour les mettre en œuvre

« L’invention des « quartiers sensibles » », par Sylvie Tissot, octobre 2007.
La dégradation du quotidien des « cités » suscite toutes sortes d’initiatives de « terrain » et de discours politiques. Mais la réalité des faits en masque une autre, celle des mots par lesquels on la désigne. Et ceux-ci sont loin d’être neutres.

« La révolte des banlieues à travers les livres », par Alec. G Hargreaves, novembre 2006.
On a souvent affirmé que, contrairement aux manifestants de mai-juin 1968, les émeutiers de novembre 2005 ont été muets. Pas de discours, ni de slogan, ni de porte-parole. Mais cela ne signifie pas forcément absence de message. Et, en tout cas, ce prétendu mutisme des émeutiers est moins réel que la cécité d’une large part de la classe politique.

« Retour sur la grande révolte des banlieues françaises », par Denis Duclos, août 2006.

Lire également notre dossier de décembre 2005, « Révolte des banlieues » :

« Les raisons d’une colère », par Laurent Bonelli.
Pourquoi les affrontements dans les banlieues françaises ont été aussi généralisés et aussi violents ? La réponse réside dans la dégradation accélérée des quartiers, mais aussi dans la militarisation de l’action de la police.

« Un “New Deal” pour l’école », par Georges Felouzis et Joëlle Perroton.
La France offre le visage d’un pays divisé, tant du point de vue social qu’économique et ethnique. Cette situation est le fruit d’une ghettoïsation qui court depuis une vingtaine d’années. Et on assiste à une sorte d’« apartheid scolaire ».

« Casser l’apartheid à la française », par Dominique Vidal.
Ce qui s’est passé dans les banlieues françaises tient à une à une triple crise — sociale, postcoloniale et de représentation politique.

« Comment la droite américaine exploitait les émeutes », par Serge Halimi.
La situation dans les quartiers n’est pas sans rappeler, mais avec des différences, l’état — et les explosions — des ghettos américains.

« Dépeçage des libertés publiques », par Nuri Albala et Evelyne Sire-Marin.
Comme prévu, la droite a mis a profit les événements de l’automne 2005 pour de nouvelles et graves atteintes aux libertés.


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